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Nos concitoyens continuent de se faire sauvagement abattre. Le dernier forfait en date est l’assassinat de neuf civils abattus dans la nuit du 14 au 15 septembre par des assaillants à Kompienbiga et à Diabiga, deux localités de la province de la Kompienga (Région de l’Est).
On peut épiloguer sur la paternité des attaques récurrentes sur notre territoire mais indexer des communautés comme le présentent certains mercenaires de la plume, est outrageux et dangereux. Le peuple n’est pas dupe et établit bien des liens entre les violences terroristes et l’ancien régime qu’il a nettoyé.
Piquées dans leur orgueil, nos autorités ont pris à bras le corps la question de l’insécurité. Avec engagement et détermination, nos forces armées ont mené des frappes aériennes dans les zones de Pama et de Gayeri selon un communiqué de presse de l’Etat-major Général des Armées en date du 16 septembre 2018. La réponse à la terreur pourrait être la terreur, comme cela se fit dans de nombreux pays en proie à l’insécurité.
Nous avons hérité d’un pays dans un état exécrable, où le système de sécurité a affaibli l’armée au détriment de la seule garde prétorienne qui bénéficiait d’un équipement digne de nom. Ceux qui rusent encore pour revenir sur la scène politique ont oublié qu’ils sont à l’origine de cette calamité.
Dans un climat sécuritaire qui ne cesse de se détériorer, certains d’entre nous passent même leur temps à jubiler lorsque notre pays est victime d’attaques ! Nous ne pouvons espérer avoir une armée solide sans unité nationale, sans cohésion nationale. Les divisions politiques existent dans tous les pays du monde. Toutefois les grands peuples savent transcender leurs profonds désaccords au nom de l’intérêt supérieur de la nation.
Les manifestations de rue au programme ne peuvent qu’entretenir une tension dont le pays n’a, nul besoin en en ces périodes d’incertitudes ! La classe politique devrait faire preuve de plus de réalisme et de retenue dans sa pratique. Se cotiser pour soutenir l’armée n’est que l’expression d’une volonté de susciter un malaise dans la grande muette. On n’humilie pas son armée, surtout qu’elle est assez mature pour ne pas tomber dans les schémas politiques.
Soyons soft avec nos soldats ! Quittons le marketing politique. Nous n’avons pas d’autres choix que de nous organiser, de nous mobiliser pour combattre l’ennemi commun.
Ag Ibrahim Mohamed
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