Transparence dans la gestion publique : le ministère de la communication tient son CASEM 2019

Le ministère de la communication et des relations avec le parlement, a tenu le jeudi 5 septembre, son premier conseil d’administration ordinaire de l’année 2019. L’objectif de ces travaux est de passer en revue toutes les activités réalisées et de dégager des perspectives.

Face à une société devenue de plus en plus exigeante dans la gestion de la chose publique, l’obligation de rendre compte s’avère plus que nécessaire. En effet cela devient un devoir pour les gouvernants de renforcer plus de transparence dans leur gestion afin d’avoir la confiance des citoyens. C’est sans doute dans cette logique que le ministère de la communication et des relations avec le parlement a tenu son conseil d’administration du secteur ministériel. A en croire les organisateurs cette séance de travail consistera à faire le bilan de la gestion sur l’ensemble des activés réalisées, dégager les limites et enfin proposer des solutions idoines pour le meilleur fonctionnement du ministère.

Pour cette séance de travail le thème retenu est : « Management et efficacité des structures ». Un thème qui devra alimenter les échanges entre les participants à cette rencontre. Selon Fulgence Rémi Dandjinou, ministre de la communication et des relations avec le parlement, la notion du management est important dans la gestion des ressources humaines si l’on veut avoir des structures très efficaces pour l’atteinte des résultats escomptés. Les travaux seront marqués par plusieurs communications suivies d’échanges.

A mi-parcours, le ministre annonce déjà un bilan satisfaisant dans l’ensemble. Il s’est félicité du travail abattu du côté de l’institut des sciences techniques de l’information et la communication (ISTIC). C’est également le cas à la RTB même si elle traverse actuellement des moments difficiles du fait des contestations sociales. A cet effet, le ministre rassure les syndicats que tout sera mis en œuvre pour la résolution de cette crise qui n’honore pas l’image de la RTB en particulier et du Burkina Faso en général.

Michel Caboré