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Le président du Somaliland, Muse Bihi Abdi, vient d’entériner une « loi sur le viol et les infractions sexuelles ». Pour la première fois, ce territoire de la Corne de l’Afrique, autoproclamé indépendant en 1991, se dote d’une véritable arme législative contre les crimes sexuels. Une victoire pour la société civile et les défenseurs des droits de l’Homme, qui militaient depuis plusieurs années en faveur de ce texte.
« J’ai des larmes de joie, déclare Ayan Mohamoud, représentante du Somaliland en Grande-Bretagne. C’est la journée la plus importante jamais vécue par nos femmes ». Comme elle, beaucoup saluent la signature de cette loi. Le Somaliland dispose enfin d’un texte spécifique traitant des viols, des agressions sexuelles, des mariages forcés ou encore de l’esclavage sexuel.
Auparavant, seuls trois articles flous d’un code pénal de 1962 évoquaient ce type de crimes. Or dans les faits, la plupart des cas étaient gérés par la loi coutumière, à travers des négociations entre familles.
Résistances
« Cette méthode se concentre sur la conciliation, avec des amendes voire des mariages forcés entre le violeur et sa victime. Les droits des femmes étaient oubliés », explique l’organisation Nagaad, à la pointe dans ce combat.
Désormais, les crimes sexuels ont leurs propres procédures et leurs propres peines : jusqu’à 30 ans de prison pour les violeurs ou la perpétuité pour ceux qui infecteraient leurs victimes avec le virus du Sida. La loi inclut aussi les viols en réunion, en forte hausse au Somaliland.
Le texte avait pourtant rencontré des résistances. La chambre des Anciens, la chambre haute du Parlement, avait apporté des amendements réduisant certaines peines.
Mais les députés n’en ont pas tenu compte et ont voté le texte d’origine, signé ce 28 août par le président Muse Bihi Abdi. Pour Nagaad, il va falloir désormais éduquer les familles, les juges, les avocats et les policiers à l’application de ce texte.
http://www.rfi.fr/afrique/20180828-somaliland-premiere-loi-viol-infraction-sexuelle-muse-bihi
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