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La campagne pour le référendum controversé sur le projet d’amendement de la Constitution, fixé au 17 mai, s’ouvre le 1er mai. Elle s’achèvera le 14 mai au soir, à 48 heures d’un vote qui semble joué d’avance et qui se prépare dans un climat tendu. Pancrace Cimpaye, porte-parole du Cnared, la coalition de l’opposition en exil, a répondu aux questions de Jeune Afrique à la veille du début de la campagne.
Bujumbura lançait le 1er mai la campagne pour le référendum sur la réforme constitutionnelle, dont le projet a été adopté fin octobre 2017. Le 17 mai prochain, plus de 5 millions de Burundais inscrits sur les listes électorales, selon la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), seront amenés à se prononcer « pour » ou « contre » ce projet de révision. Le nouveau texte permettrait au président Pierre Nkurunziza, au pouvoir depuis 2005, de briguer, à partir de 2020, deux mandats supplémentaires de sept ans chacun.
L’opposition, qui dénonce un « deux poids, deux mesures » dans cette campagne, s’est insurgée, ces derniers mois, contre les arrestations de plusieurs dizaines de ses militants accusés de faire campagne pour le « non » au référendum. Pour le Conseil national pour le respect de l’accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation au Burundi et de l’État de droit (Cnared), ce référendum, qui se prépare dans un contexte tendu, signe la fin de l’accord d’Arusha, signé en 2000 et qui avait mis fin à la guerre civile.
Alors qu’un ultime round du dialogue inter-burundais, qui devait se dérouler du 25 au 29 avril, n’a finalement pas eu lieu, Pancrace Cimpaye, porte-parole du Cnared, répond aux questions de Jeune Afrique sur l’enjeu de ce référendum.
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