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Depuis 2018, les agents du MINEFID ne cessent de multiplier des mots d’ordre de grève. Or, ces arrêts de travail ne sont pas sans conséquences négatives sur l’économie du pays. En effet, cela paralyse les activités du secteur privé qui a une part très significative dans l’économie nationale. Un an après, le gouvernement peine toujours à gérer de façon diligente cette crise.
Selon les premiers responsables des syndicats, la coalisation ne tardera pas à emprunter d’autres chemins de lutte s’il n’y a pas de satisfaction dans les jours à venir. « La coalition des associations et syndicats des commerçants et opérateurs économiques du Burkina Faso, met en garde les grévistes et prend l’opinion nationale et internationale à témoin. Si d’ici fin avril, la grève ne prend pas fin, elle va engager d’autres formes de lutte contre ces derniers et cela sera sans pitié » a laissé entendre Léon Nikiema, le secrétaire général du Groupement des Acteurs des petits Commerces du Burkina Faso (GAPEC-BF).
La coalition n’a pas manqué de rappeler aux grévistes que c’est l’argent du contribuable qui alimente leurs salaires et le fond commun. Autre point abordé est celui de la chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso. Selon les conférenciers, cette institution est gérée de façon mafieuse par un petit groupe d’individus qui privilégient leurs intérêts personnels au détriment de l’intérêt national. Pour une meilleure transparence dans la gestion de la chambre de commerce, les conférenciers exigent du pouvoir en place la publication de l’audit et la règlementation des voyages d’affaires.
Michel Caboré
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