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En plus de l’hydroélectricité, ce qui est également capital dans la réalisation de cet ouvrage, c’est le pôle de croissance économique qu’il va constituer. Troisième plus grand barrage du Burkina (1,5 milliard m3) après ceux de Kompienga et de Bagré, ce barrage à buts multiples est un projet structurant qui va contribuer au développement d’activités génératrices de revenus, telles que l’agropastoralisme, le commerce, la pêche, l’hôtellerie… Deux autres ouvrages importants en construction sont achevés. Il s’agit de celui du barrage de Guitti dans le Nord qui alimente la ville de Ouahigouya et celui de Moussodogou, dans les Cascades qui approvisionne la ville de Banfora.
Le sec sahel burkinabè où les communautés ont soif, est devenu un terrain d’horreur devant l’acharnement et la violence des groupes obscurantistes. Un barrage pourrait toujours barrer la route à l’hydre terroriste et permettre à la société de retrouver ses mœurs bâtis sur l’élevage. En octobre 2017, démarraient les travaux de la seconde phase du projet de barrage de Bambakari sur la rivière Beli de Tin-Akoff (province de l’Oudalan) pour une durée de 24 mois et d’un coût de 14 milliards FCFA. Ce barrage est l’espoir d’une région déjà éprouvée, nous avons le devoir d’en assurer la réussite.
Le taux d’accès à l’eau potable au niveau national a été porté à74% en 2018. Le PNDES (Plan National de Développement Economique et Social) fixe le taux d’accès à l’eau à 79,9%. Dans un pays sahélien « pour élever le filet social, il faut élever le taux d’accès à l’eau » aimait à répéter le regretté Député-Maire de Dori, Hama Arba Diallo. Samandeni est le symbole d’un Burkina qui avance. Vous pouvez rager, dénigrer, vous masturber l’esprit, le Faso avance !
Ag Ibrahim Mohamed
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