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C’est en compagnie des réfugiés, Maliens pour la plupart, que le Burkina Faso a célébré cette journée. Evalués à près de 25 000 sur toute l’étendue du territoire burkinabé, les réfugiés participent pour la septième année consécutive à cette commémoration. Elle marque pour eux une occasion pour formuler leurs doléances aussi bien à l’Etat burkinabé qu’aux organismes chargés de les soutenir. Et pour cause, si les réfugiés, qui se répartissent en urbains et ruraux en fonction de leurs lieux de refuge, saluent le sacrifice des populations locales qui ont consenti maints sacrifices à leur endroit, ils déplorent la diminution de l’aide apportée par les organisations humanitaires. Pour le représentant des réfugiés « ruraux », Moustapha Mohamed, c’est avec grande déception que les réfugiés constatent une catégorisation des réfugiés qui classe certains d’entre eux comme « privilégiés » synonyme de privation partielle ou totale de l’aide.
Discriminations. Si c’est un fait que ce n’est pas de gaieté de cœur que l’on quitte son pays, les représentants des réfugiés urbains notamment déplorent des conditions d’intégration difficiles au Burkina Faso qui les confinent dans une situation d’assistance. « Les réfugiés ont le plus grand mal à intégrer le marché de l’emploi burkinabé à cause de pratiques sociales dont ils sont naturellement exclus ». Ce qui a répercussions sur leurs capacités à se prendre en charge sur les plans sanitaire et scolaire déplorent les représentants des réfugiés. Quant aux différents projets mis en œuvre par les différentes organisations en vue de parvenir à leur autonomisation, les réfugiés rappellent que ceux ceux-ci sont à la traine. Ce n’est donc pas par plaisir qu’ils demandent le maintien voire la hausse de l’aide à eux apportée, assurent-ils. A l’Etat burkinabé, ils demandent leur sécurisation aussi bien politique que juridique.
Soumana LOURA
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