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action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/vhosts/fasopic.net/httpdocs/wp-includes/functions.php on line 6121La prostitution rapporte gros à Fada N’Gourma, à tel enseigne que des femmes mariées, des salariées et des jeunes filles dites de bonnes familles, s’y sont également lancées, au grand dam des professionnelles du métier.
Dans un grand reportage à paraître demain mercredi 8 novembre 2017 dans le quotidien public Sidwaya, le journaliste Moussa CONGO livre le fruit d’une enquête de plus de quatre ans, sur le nouvel visage de la prostitution à Fada N’Gourma (232Km à l’Est de Ouagadougou).
L’enquêteur, citant un rapport de la police des mœurs, révèle que chaque travailleuse du sexe (TS) gagne par mois, entre 100 mille FCFA et 300 mille FCFA. Mais ces chiffres sont en deçà de la réalité, poursuit-il en investiguant auprès d’autres sources.
Ce secteur florissant et en pleine croissance a aiguisé l’appétit des jeunes filles dites de bonnes familles qui portent les sobriquets de ‘’Brigades mobiles’’, de ‘’Bagdad’’, de ‘’Livraison à domicile’’ ou encore de ‘’Rasoirs’’.
«Il n’y a plus de différence entre une qui fait le travail (TS) et les autres filles. La seule peut-être, c’est que nous avons un suivi sanitaire. Sinon les filles de la ville font la même chose que nous», se lamente TN auprès du journaliste.
Ces propos sont en partie corroborés par l’agent de santé Rosalie Lompo qui note qu’on assiste depuis quelques temps à une baisse significative des cas d’infections sexuellement transmissibles (IST) chez les prostituées.
«Les travailleuses du sexe font l’objet de suivi régulier. Les tests sérologiques et gynécologiques sont devenus leur habitude. Elles viennent d’elles-mêmes et cela est encourageant», note Mme Lompo.
Par contre «au niveau des filles, on assiste à une recrudescence des IST et de diverses infections et cela est inquiétant (car) elles ne viennent jamais pour avoir des conseils pratiques», soutient la sage-femme Jacqueline Maïga.
Les recherches de Moussa Congo ont également révélé que des femmes mariées, des fonctionnaires et des stagiaires des écoles de formation professionnelle, se livrent également à la vente de leurs corps à Fada N’Gourma.
L’intégralité de son travail est à lire dans le Sidwaya du mercredi 8 novembre 2017.
Agence d’Information du Burkina
ata
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