Economie : l’Ambassade de France au Burkina veut soutenir le Conseil national de l’économie informelle

Une délégation de l’Ambassade de France au Burkina Faso, a rendu visite au Conseil national de l’économie informelle du Burkina Faso (CNEI-BF), dans l’après-midi du mardi 1er juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif était de s’imprégner du fonctionnement et de la vision du CNEI-B.

 

Béatrice ALPERTE, conseillère économique de l’Ambassade de France

L’Ambassade de France au Burkina Faso entend nouer un partenariat solide avec le Conseil national de l’économie informelle. A cet effet, une délégation conduite par Béatrice ALPERTE, conseillère économique de l’Ambassade de France est allée toucher du doigt les réalités de la jeune structure du secteur informel.  Selon madame la conseillère économique, le secteur informel joue un grand rôle dans l’économie du Burkina Faso, et a besoin d’être soutenu.  A l’entendre, l’idée c’est de permettre au CNEI-BF de passer de l’économie informelle à l’économie formelle pour le bonheur de l’ensemble des acteurs de ce secteur.  C’est pourquoi elle a promis que l’ambassade de France ne ménagera aucun effort pour aider le CNEI-BF à atteindre ses objectifs. « Je suis vraiment contente du travail abattu. Je traduirai fidèlement ce que j’ai vu à l’ambassadeur. Nous plaiderons pour le CNEI-BF auprès des partenaires techniques et financiers.  Le passage de l’économie informelle vers l’économie formelle est un combat de longue durée, mais je vous conseille d’aller doucement et surement » a laissé entendre Béatrice ALPERTE.

Alixis Zongo, secrétaire du CNEI-BF, chargé de la transition de l’économie informelle vers l’économie formelle

Quant à Alixis Zongo, secrétaire du CNEI-BF, chargé de la transition de l’économie informelle vers l’économie formelle, il a au nom de ses camarades traduit toute sa gratitude à l’endroit de l’Ambassade de France au Burkina Faso, pour cette visite qui constitue le point de départ d’un partenariat.  « Nous sommes très ravis de cette visite de l’ambassade de France.  Notre structure est encore jeune et ce que nous voulons c’est la formalisation de nos entreprises. Nous pensons qu’avec le soutien de l’ambassade de France, nous y parviendrons parce la France connait très bien le Burkina Faso » a-t-il fait savoir.  Pour lui, la France est un repère et ce partenariat est le bienvenu.

 

Michel CABORE

bazie

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